Les braies des Franches-Montagnes, HC LEM – HCC2 4-14

La joyeuse bande vadaise, l’estomac encore lourd du dimanche soir précédent, s’est déplacée en Franches Montagnes vendredi pour défier l’équipe réserviste des Enfers – Montfaucon.

Elle avait laissé son grand escogriffe à la panosse au repos pour l’occasion, puisque celui-ci aspirait à un peu de calme en disputant un polo à dos de poney (?). Enfin, chacun son truc, on a trouvé un second et charmant rempart. De derrière, on ne voyait même pas trop de différence.

Un second renfort inconnu, un certain Breizicofix , le cousin d’Astérix, s’est ramené en costume traditionnel dans le vestiaire.

On était alors fin prêt à en découdre.

Nos adversaires étaient nombreux, mais pas très organisé, Le fameux jeu Guéguellois a pu se développer en toute sérénité. Avec sa nouvelle technique de 3 centres (faut pas fatiguer ses altesses) sur 2 lignes, la défense taignonne n’y comprenait plus rien.

Pour bien commencer, notre chocolatier tête de moineur ajustait un trou de souris, puis ce vieux briscard de Puch en a envoyé dans tous les sens. Un de ces buts a même touchés 3 fois la transversale et 2 fois le montant avant de rentrer. Plus tard,Ragusa a encore régalé son monde en célébrant un but par  un superman dont il a le secret. Presque tout le monde a pu profiter, sauf le Gaulois qui peine à débloquer le compteur.

Avec un tel festival, on ne peut se plaindre de l’attaque, qui  a été bonne, puis un peu suffisante. Tout le monde a été à niveau, même si 2mon ne tenait pas debout, sûrement à cause de ces satanées cloches au chocolat. Un manigance du boucher pour le destituer?

La défense a pu se reposer, et même se montrer offensive. Le petit viking de Châticourtételle a même marqué au moins un joli but, sous les yeux de sa tendre dulcinée. Le vieux rubis qui revenait de convalescence, était un peu à court de souffle, ce qui nous a offert un peu de calme, et  notre dernier rempart a tenu bon, avec un style et une sûreté digne d’éloge. Les quelques buts encaissés l’ont été sur des situations de jeu particulière, en transition offendéfensive, où la défense était au choux.

A la toute fin, le défenseur wolfet a même débordé le gardien et s’est contenté d’une pirouette Bielmann au lieu de marquer. On en avait assez mis.

Après une petite pause au stamm habituel de là haut, moults tripailles et pichets, tout le monde est redescendu satisfaits.

Dimanche prochain, autre chanson, verrons nous la Bergeronnette?

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